Faire revenir son homme, interview d’une coachée qui a réussi !

faire revenir son homme Chaque semaine, ce sont plusieurs dizaines de couples qui parviennent à se former, à se remettre ensemble ou à éviter le pire en suivant mon analyse et mes préconisations. Lors d’un coaching pour reconquérir son homme ou sa femme, il existe plusieurs étapes cruciales qui permettent une évolution positive. C’est principalement le message qu’a souhaité faire passer Bénédicte* à l’ensemble des personnes qui visite mon site. Cette dernière à profiter d’un suivi en coaching de quelques heures seulement mais le rendement a été à la hauteur puisqu’elle a réussi à faire revenir son homme. Je vous invite à découvrir ses réponses aux questions que vous vous posez probablement si vous envisagez la reconquête d’un être cher.

1/ Bonjour Bénédicte, peux-tu te présenter brièvement ?

Bonjour Alexandre, je suis Bénédicte, j’habite à Paris intra-muros, je cadre suis dans la communication et j’ai 44 ans. J’étais en couple depuis un bout de temps avec Franck et il a décidé de me quitter car il ne nous voyait plus d’avenir commun. Mon amour pour lui était intense et je n’ai pas pu accepter sa décision. C’est pour cette raison que j’ai décidé de le récupérer à tout prix. J’ai donc fait appel à tes services car j’ai aimé ta philosophie qui consiste à faire passer le bonheur en priorité. C’est exactement ce dont j’avais besoin et j’imagine que c’est également le cas pour l’ensemble des personnes qui suivent tes conseils.

2/ Comment te sentais-tu après la rupture ?

Après la rupture j’étais totalement abattue, effondrée, désespérée. J’avais vraiment le sentiment de dégringoler et de sentir que mes forces me lâchaient. Je me suis mise à avoir très peur. Je me demandais combien de temps cela prendrait afin de ne plus ressentir cette douleur, et je me demandais bien où j’allais trouver le courage de remonter la pente, à quoi me raccrocher. Je suis quasiment tombée malade.

Je ne mangeais plus, je ne dormais plus. J’avais d’énormes difficultés à me concentrer dans mon travail, et en même temps je mettais un point d’honneur à ce que celui-ci ne pâtisse pas de la situation. Je voulais que mon travail soit bien fait, comme chaque semaine, que personne ne puisse remarquer une baisse de qualité dû à un événement extérieur. Et je vivais en permanence avec cette peur de savoir si j’allais arriver à surmonter la situation. C’est surtout de ça dont je me souviens, une peur chevillée au ventre. A posteriori, je ne sais pas très bien comment j’ai trouvé le courage de me lever, d’aller travailler, de continuer à essayer de mener une vie la plus normale possible, mais je l’ai fait.

Je crois que j’essayais de ne pas trop réfléchir. Souvent lorsque je rentrais chez moi, j’étais abattue. Il m’est arrivée de rester prostrée des week-ends entier dans mon lit. Je pense aussi que j’étais épuisée, vidée, parce que j’avais employé toutes mes forces à faire bonne figure dans ma vie sociale et professionnelle. Bien sûr, j’avais des amis à qui je pouvais me confier, et qui m’ont beaucoup soutenu, ont pris soin de moi. Ma mère aussi qui je pense s’inquiétait beaucoup. Mais malgré tout, la solitude, la douleur, on ne peut y échapper, et bien qu’entourée, personne ne peut souffrir à votre place. On n’a pas d’autre choix que d’affronter, ou de se laisser aller. Et je crois que cette peur venait de là, de m’inquiéter de savoir si j’allais être capable d’affronter.

3/ Quelle a été ta première action pour récupérer ton homme ?

Ma première action bénéfique a été de chercher une solution. Faire revenir son homme n’est pas une mince affaire et j’avais perdu l’hêtre que j’aimais, mais je ne voulais pas admettre que j’avais perdu l’amour tout court. Compte-tenu des circonstances de cette rupture et du fait que dans un message il m’avait demandé de « respecter sa décision », je ne voyais pas très bien comment rattraper la situation. Mais j’ai respecté sa décision et j’ai disparu de sa vie. Comme je ne voyais pas très bien ce qui avait pu conduire dans mon comportement à une situation aussi radicale, j’ai dans un premier temps voulu comprendre ce qui n’allait pas chez moi, car je pense que dans une crise de cet ordre chacun à sa part de responsabilité.

J’ai donc consulté en premier lieu un psychothérapeute, puis une psy de couple. Lors de la première séance, les deux ont été péremptoires, mon problème se résumait au fait que je ne savais pas choisir mes partenaire, disons que pour eux je faisais toujours les mauvais choix. Très bien, j’ai donc axé les thérapies sur l’idée de faire un « bon choix » désormais. Après des dizaines de séances (et quelques centaines d’euros dépensés), je n’ai toujours pas eu de réponse à ma question : « qu’est-ce qu’un bon choix ? ». Pour le psychothérapeute, je n’avais peut-être tout simplement pas eu de chance. Quant à la psy, elle me trouvait parfaitement équilibrée, structurée et ne voyait absolument pas où se trouvait le problème.

Parallèlement à cette remise en question, j’ai naturellement cherché à faire de nouvelles rencontres, à provoquer une nouvelle chance. Et forcément c’est arrivé, mais ça n’a pas marché. J’ai recommencé une seconde fois, ça n’a pas marché non plus. C’est là que j’ai pris conscience de l’absurdité de la situation. J’ai éprouvé un grand découragement, ainsi qu’une grande colère. Et j’ai repensé à cette histoire que j’avais vécue. Et sous le coup de la colère et du désespoir j’ai voulu savoir une bonne fois pour toute. Savoir pourquoi il m’avait quittée, pourquoi il avait voulu mettre un terme à ce qui pour moi était une vraie et belle relation. Ces deux thérapies se sont donc révélées totalement inefficaces et ne m’ont pas permis de reconquérir mon homme.

Je me suis dit que je n’avais rien à perdre après tout : au pire il ne me répondrait pas, au mieux il me donnerait une explication. Je n’avais même pas l’idée de le récupérer, mais j’étais tenaillée par le besoin de savoir. C’était cinq mois après la rupture. À mon grand étonnement, il a fait profil bas, il a compris mon sentiment de colère face à la situation, a reconnu la totale responsabilité de la rupture et j’ai senti chez lui comme un soulagement que je puisse lui donner l’opportunité de s’expliquer. C’est là que j’ai compris que je n’avais pas eu à faire à un salaud, et appris qu’il s’était sorti de cette relation parce qu’il ne voyait absolument pas comment affronter un problème qui le concernait lui seul, et qu’il avait employé ces cinq mois à se remettre en question de son côté, conscient d’un dysfonctionnement qu’il ne maîtrisait pas. J’ai été touchée de son honnêteté et de son respect à mon égard, j’ai trouvé courageux sa remise en question et j’ai alors caressé l’espoir que tout pouvait redevenir possible entre nous.

4/ Comment as-tu supporté de le voir sans être « un couple » ?

J’ai supporté de le voir sans être « un couple », car j’ai compris à ce moment-là que le chemin serait long, et étant donné que le problème venait principalement de lui, que je devais m’adapter à son rythme.

J’ai compris aussi que quelque chose était resté intact entre nous. Je ne saurais comment l’expliquer exactement, d’ailleurs rien ne saurait expliquer rationnellement ce que je ressentais, mais je savais d’une façon péremptoire que nous étions fait l’un pour l’autre. Je savais que c’était lui, que je devais arriver à lui transmettre cette foi que j’avais en nous, qu’il fallait arriver avec patience, amour et détermination à lui faire prendre conscience que nous devions nous donner une nouvelle chance. Je ne dis pas que je n’ai pas douté parfois, mais dans le fond j’étais déterminée et poussée par une force et un espoir inébranlable. Je pense justement que c’est cette détermination, cette persévérance, cette foi que j’avais en notre histoire d’amour qui l’a fait revenir. Cela a pris du temps, mais j’ai gagné sa confiance, et je pense qu’au bout du compte il en a été touché.

5/ D’après toi qu’est-ce qui a permis de faire revenir ton homme?

Je pense que souvent les hommes et les femmes n’avancent pas au même rythme, ne prennent pas conscience de l’importance des choses au même moment, et que c’est souvent ce décalage de phase qui engendre les crises. Il y en a toujours un qui est prêt et l’autre pas, ou moins. Nous sommes parfois sur le même chemin, mais pas côte à côte. Et c’est un peu ce qui s’est passé entre nous. J’ai tout simplement attendu qu’il soit prêt et convaincu comme moi je l’étais que nous étions fait pour être ensemble.

6/ Qu’as-tu pensé du coaching reconquête avec Alexandre CORMONT ?

Avec le coaching d’Alexandre j’ai enfin trouvé précisément le suivi et les réponses que je n’avais pas réussi à avoir avec les psys. En premier lieu, il s’est intéressé à nous, au couple. Moi, ma vision des choses, mon ressenti et ceux de mon ami ensuite, de façon égale.

Nous avons analysé point par point ce qui pouvait dans mon comportement opérer des blocages dans notre couple. Il m’a permis aussi de comprendre les blocages de mon ami, d’envisager ses souffrances et sa vision des choses. Nous avons élaboré une ligne de conduite, une stratégie basées sur la confiance et l’empathie. Et pas à pas cela a porté ses fruits puisque j’ai réussi à faire revenir mon homme.

Ensuite, l’accompagnement et la disponibilité dont il a fait preuve ont été essentiels, car pour arriver à ses fins, il ne faut jamais rien lâcher, et si l’on doute ou si l’on flanche, Alexandre est là pour nous remettre sur les rails, ou rattraper une situation voire une erreur que chacun de nous peut commettre à cause de l’émotion et de la souffrance occasionnée par la séparation. C’est une donnée essentielle et fondamentale de la réussite d’une reconquête.

* par soucis de confidentialité, le prénom et la photo ont été modifié

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